La question des habitudes de vie ou comportements de santé chez les personnes touchées par un trouble mental sévère est peu à peu mise à jour dans des études observationnelles.
La question des habitudes de vie ou comportements de santé chez les personnes touchées par un trouble mental sévère est peu à peu mise à jour dans des études observationnelles.
Le niveau d’activité physique (AP) d’adultes touchés par des troubles dépressifs (modérés à élevés) est un facteur qui influence la réponse à un traitement de la dépression.
Après une activité moins fournie sur le blog ces derniers mois, voici un article qui présente une méta-analyse réellement intéressante.
Après avoir traité de l’activité physique (AP) chez les candidats à une chirurgie bariatrique, posons-nous la question de l’après, du post-opératoire. On pourrait penser que l’opération entraine un déclic dans les habitudes des personnes, terme que l’on retrouve sous la forme de ‘ teachable moment ’ en anglais. Mais cela ne semble pas être le cas pour l’activité physique.
Continuons notre réflexion sur l’activité physique sous ses multiples formes et ses relations avec la santé.
La question des techniques de changement comportement liées à l’augmentation de l’activité physique a peu été abordée sur ce blog, excepté les travaux de M.Gourlan dans le domaine de l’obésité.
Qu’est ce que cela donne lorsqu’on évalue objectivement l’activité physique et la sédentarité de 46 personnes en surpoids ou obèses touchés par des troubles schizophréniques ? Un équipe de chercheurs vient de publier les données qui répondent à cette question et mettent en perspectives leurs résultats avec la population générale 1 . Les participants portaient un actimètre Actiwatch durant 7 jours avant d’être répartis dans une