La question des techniques de changement comportement liées à l’augmentation de l’activité physique a peu été abordée sur ce blog, excepté les travaux de M.Gourlan dans le domaine de l’obésité.
La question des techniques de changement comportement liées à l’augmentation de l’activité physique a peu été abordée sur ce blog, excepté les travaux de M.Gourlan dans le domaine de l’obésité.
Un nombre important d’essais cliniques a été publié pour décrire les résultats de l’efficacité de l’exercice physique sur la dépression. Les 1er études portaient sur des personnes en bonne santé, puis des adultes avec un niveau de dépression modéré (non clinique) et récemment des investigations voient le jour auprès d’adultes touchés par des troubles dépressifs majeurs cliniques.
Le numéro de La Santé en Action de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) de Septembre 2015 consacre un dossier : « Promouvoir des environnements favorables à la pratique de l’activité physique » (téléchargeable ici). Le numéro développe un premier article très clair sur le passage de l’intention à l’action dans le domaine de l’activité physique (Déterminants individuels de
De nombreux articles du blog décrivent des études portant sur les effets ou relation entre l’exercice physique ou l’activité physique et la dépression. Dans le cadre précis de la recherche clinique centrée sur l’efficacité de l’AP dans le traitement des épisodes dépressifs majeurs, un nombre important d’études ont menées avec des résultats (dans l’ensemble) positifs.
En mars dernier, un article listait des références scientifiques francophones sur la thématique de l’activité physique et de la santé.
Aidé de M.Carayol, la revue Mental Health and Physical Activity a récemment publié notre commentaire 1 sur la question du contrôle des traitements antidépresseurs et anxiolytiques lorsqu’on évalue les effets de l’activité physique sur la santé mentale.
La question des effets postifis ou négatifs de l’exercice sur le sommeil est souvent résolue sur la base de croyances acquises, mais en l’état actuel des connaissances, qu’en est-il vraiment ? Plusieurs recommandations internationales recommandent d’éviter une pratique d’activité physique relativement intense les 3 dernières heures précédant le coucher car cela augmenterait l’arousal (degré de « tension/éveil ») à l’endormissement et
Le 15 Juin 2010, arrivait le premier article du blog sur la définition de l’exercice physique.
Les lecteurs du blog se rappellent d’un article de février 2015 qui abordait l’effet de la désirabilité sociale (« l’adéquation connue des comportements observés ou anticipés d’une personne aux motivations ou aux affects réputés des membres typiques d’un collectif social ») sur la mesure par entretien de l’activité physique (AP) et sur son potentiel explicatif de l’écart entre mesure subjective et objective (accéléromètre) de l’AP. Le hasard des
La revue Nutrition Clinique et Métabolisme a accepté de publier une lettre à la rédaction rédigée à trois paires de main dont la mienne (disponible ici) 1 . L’idée de cette lettre fait suite au numéro spécial de Décembre 2014 : Les enjeux de l’activité physique : de l’enfant au sénior, du sportif au malade.