
Un article à paraitre dans le journal Preventive Medicine décrit la prevalence de l’ « inactivité physique» et son association avec les niveaux de développement du pays.
Un article à paraitre dans le journal Preventive Medicine décrit la prevalence de l’ « inactivité physique» et son association avec les niveaux de développement du pays.
Cette chronique vise la mise en exergue un article de Benjamin Guinhouya ( benjamin.guinhouya@univ-lille2.fr ) : Le conseil en activité physique dans le cadre des soins primaires (2010) dans la revue Éducation thérapeutique du patient (ici). C’est à ma connaissance le premier article francophone qui fait état de propositions pour effectuer du conseil à l’activité physique avec des
Ces dernières années quelques études sont apparues pour démontrer les 1 er bénéfices du couplage des thérapies cognitivo-comportementales (ici) (TCC) avec l’AP . On retrouve des études sur des sujets touchés par des troubles cardiaques, en rémission de cancer ou touchés par des troubles anxieux généralisés.
Après quelques recherches, j’ai trouvé la définition de l’APA (au singulier) de l’IFAPA ( International Federation of Adapted Physical Activity ) (lien ici) “L’APA est définie comme un corps de connaissance pluridisciplinaire dirigé vers l’identification des différences individuelles en activité physique.
Ce blog a vu le jour en débutant avec les définitions de l’activité physique (ici) et l’exercice physique (là). Il apparaît essentiel de statuer sur la définition des APA. A ce jour aucune définition officielle n’existe au niveau législatif. Parmi celles récoltées sur internet, celle de la SFP-APA semble la plus pertinente. Elle surmonte la difficulté de n’oublier personne et de balayer l’ensemble des champs d’intervention des APA.
Une expérience a été menée par le chercheur Frédéric Anciaux (Docteur en STAPS, son site) en vue d’analyser si la langue de présentation des consignes influence les performances motrices d’enfants bilingues en situation d’apprentissage. Quatre-vingt bilingues français/ créole ( M = 10,4 ans) ont été repartis dans deux groupes expérimentaux afin d’apprendre à
La broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) est une maladie chronique qui a des effets systémiques sur la santé. La BPCO est la cinquième cause de mortalité dans le monde. En France, la BPCO concerne 3 à 4 millions de personnes, soit 6 à 8% de la population adulte.
Une question que trop peu de personnes se posent. L’espérance de vie des sujets DI à quasiment doublé, mais d’autres maux les touches. Regardez ci-dessous les différents taux de surpoids et d’obésité dans cette population (Rimmer et Yammaki 2006). Vous trouverez dans les références un article de Bégarie et al., 2009 sur une étude française. Vous trouverez ci-dessous quelques pistes de travail dans le cadre des activités
La Société Canadienne de physiologie de l’exercice nous livre de nouvelles recommandations en terme d’activité physique, qu’est ce qui change ? Enfants et Jeunes : Inclusion de tous les enfants et jeunes d’âge scolaire.
Nombreux sont les enseignants APA qui se confrontent au problème de motivation à la pratique ou de kinésiophobie (peur du mouvement) (plus d’info ici ) . Plusieurs solutions peuvent être utilisées: travail plus précis de communication avec les usagers, leur entourage et ou autres professionnels, modification du traitement didactique de l’activité, modifications des choix pédagogiques mais aussi changement de la nature de l’activité.
La sexualité est un critère majeur de qualité de vie. Relativement peu d’études portent sur la sexualité et encore moins sur la relation entre sexualité et activité physique. L’étude de Bortz et al (1999) a interrogé un groupe spécifique de personnes âgées de 50 à 70 ans appartenant à un programme d’activité physique. Ce groupe de personne est très spécifique par rapport aux personnes de leur âge car très actifs.